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mercredi 26 juil 2006

Commentaires

JMG

Je pense qu'il y a des Camarades de RM qui raisonnent comme si le futur débat interne sur la désignation des candidats était un débat de congrès, or ce n'est pas le cas et comme dirait l'autre "se tromper d'échéance c'est aussi se tromper de débat...". L'échéance de 2007 consiste à battre la droite et non à refaire le congrès du Mans ou de Tours... Comme tous les candidats se réclament aujour'hui de la synthèse du Mans, ils sont donc tous sur la même ligne politique. Et le devoir politique de RM est de peser de toutes ses forces dans la bataille qui s'annonce en soutenant le candidat, susceptible de porter au mieux les axes programmatiques d'une rénovation, qui ne sera certes pas complète, mais qui sera un premier pas... Et pour ce qui me concerne, ce candidat est une candidate !

Ralph Zurmély

LETTRE A ARNAUD MONTEBOURG ET A LA DIRECTION DE
RÉNOVER MAINTENANT.


L’hypothèse d’une candidature d’Arnaud Montebourg à la désignation du candidat socialiste à la présidentielle de 2007 est aujourd’hui enterrée. C’est le choix personnel d’un homme politique libre de se jeter ou non dans une épreuve où, dit-on, s’accomplit la rencontre providentielle d’un homme ou d’une femme avec la France. Arnaud Montebourg a estimé en son âme et conscience que les conditions n’étaient pas réunies pour aller au bout d’une démarche soutenue par l’immense majorité des militants de Rénover maintenant. Nous regrettons cette décision, mais nous la respectons.
En son âme et conscience, il a dans un même élan « fait un pas, personnel mais déterminé », dans le sens d’un ralliement à la candidature de Ségolène Royal.

Alors, cher camarade Arnaud, permets-nous de rappeler ici quelques évidences qui nous ont paru former, dans le refus avec toi de la synthèse imposée par la direction du parti socialiste au Mans, le ciment de notre engagement commun à Rénover maintenant.

*

À l’inverse des pratiques anti-démocratiques qui minent depuis tant d’années le Parti socialiste, nous pensons encore que « la difficile question du choix » d’un éventuel ralliement de notre mouvement à un candidat devrait être collectivement tranchée et non être du ressort de la seule direction de RM, aussi « éclairée » soit-elle. Certes, RM s’est doté de représentants ayant pour charge de décider des orientations du mouvement. Partisans de la 6ème République, nous sommes bien sûr de fervents défenseurs de la démocratie représentative. Mais à engagement exceptionnel – le choix d’un candidat ou d’un projet – nous demandons une procédure exceptionnelle, à l'instar de ce qui existe en matière constitutionnelle avec le recours au « référendum ». Une procédure visant à consulter l’ensemble des militants pour décider de l’opportunité d’un ralliement immédiat ou prendre le parti d’une neutralité active de RM jusqu’à la désignation officielle du candidat des socialistes.

Il n’y a pas, lorsque l’on est chef d’un parti ou d’un courant, de choix personnel qui n’engage les militants qui ont fait le choix de se placer derrière un homme et les idées qu’il incarne.

D’autre part, l’argument même selon lequel « il nous faut désormais choisir, parce que nous n’avons plus le choix » n’est pas admissible, sauf à accepter aujourd’hui ce que nous critiquions hier : la tyrannie d’une logique présidentialiste, cette logique folle qui ordonne toute la vie du parti et qui devrait commander aujourd’hui les choix des rénovateurs. Il n’y a pas plus d’obligation maintenant à prendre position dans cette bataille présidentielle interne au PS qu’il n’y avait hier d’obligation à rallier la synthèse. Cohérents avec nous-mêmes nous pensons au contraire que refuser la fatalité de l’alignement pavlovien sur une écurie présidentielle c’est faire là un acte politique fondateur ; celui de la continuité dans l’action qui nous permettra peut-être un jour d’apparaître aux yeux des socialistes d’abord et des français ensuite comme l’ultime recours aux alliances de circonstance et aux errements stériles d’une 5ème République déclinante.

Enfin, l’important crédit politique et moral que tu as acquis, Arnaud, en refusant la synthèse au Mans, bien au-delà des rangs des militants encartés du parti socialiste, est en passe d’être dilapidé au vu des réactions dépitées et du malaise général que tes déclarations en faveur de Ségolène Royal ont suscité dernièrement. Car comme beaucoup de militants et de sympathisants de RM nous pensons qu’un tel ralliement à cette candidature s’avère tout simplement contre-nature. Outre ses déclarations tonitruantes peu conformes aux valeurs traditionnelles de la gauche, Ségolène Royal est loin d’avoir fait la preuve que sa candidature présente les atouts du renouvellement : non seulement elle est la candidate de la synthèse mais elle apparaît également pour l’heure comme la fidèle représentante d’un appareil que nous n’avons cessé de dénoncer.

*

Mais comme toi, Arnaud, nous voulons faire gagner la gauche en 2007. Face au carnage des politiques ultra-libérales de la droite, il est temps d’opposer une union des forces progressistes rassemblée autour d’un candidat unique prônant des valeurs communes de justice sociale et de solidarité. Seule cette union de toutes les forces de gauche pourra, nous en sommes convaincus, nous assurer la victoire.

Toutefois, si nous voulons que ce candidat de la gauche soit le candidat des socialistes et si nous souhaitons effectivement en tant que rénovateurs pouvoir influer par nos idées sur ce candidat afin de « gouverner durablement ensemble », gardons-nous d’un ralliement effectué dans la précipitation avant investiture officielle du candidat du PS. Car outre le fait qu’un tel ralliement ne ferait qu’accentuer les dissensions déjà nombreuses au sein du parti, celui-ci nous paraît surtout aussi inacceptable moralement que politiquement inutile.

Inacceptable moralement vis-à-vis des camarades, frappés d’ostracisme ou tenus pour quantité négligeable dans leurs sections en raison de leur choix courageux de rejoindre RM, et qui auront finalement l’impression d’avoir été trahis.
Politiquement inutile parce que le candidat investi par le PS aura crucialement besoin du soutien de toutes les composantes de la gauche, à l’extérieur comme à l’intérieur même du parti, et que les pactes scellés ou promesses faites par certains candidats déchus n’auront pas plus de valeur qu’un chèque en blanc. D’ailleurs, quelle crédibilité accorder à un prétendant non investi par son parti et, plus largement, à un responsable politique dépourvu du soutien de tous les militants de son mouvement…

Et nous sommes très nombreux à penser que nous pèserons davantage le moment venu pour faire partager nos convictions et négocier notre soutien au candidat de la gauche en restant pour l’instant les spectateurs impassibles du combat des éléphants qui va bientôt s’engager, loin au-dessus des barrissements de la mêlée. C’est aussi l’assurance pour nos représentants, qui seront amenés à traiter avec le vainqueur, de pouvoir discuter d’égal à égal, soutenus par un collectif de militants unis et mobilisés dans le même sens, ouverts à toute discussion mais sans humiliation ni renoncement préalable à nos idées. D’autant que nous avons de bonnes raisons de croire que celles-ci ont déjà réussi à pénétrer les esprits d’une partie importante de la gauche. Alors de grâce, Arnaud, ne sacrifions pas notre intégrité politique durement réprimée mais justement acquise sur un simple coup de dés en fonction de calculs purement électoralistes à court terme.

Sans aucun doute la question d’un ralliement sera débattue par notre mouvement à Fouras. Mais cela dans un contexte biaisé par le choix déjà acté, précipité et solitaire de l’un de nos principaux responsables, alors même que tous les militants ne seront pas présents. Un débat dont notre mouvement risque fort, si nous n’y prenons garde, de sortir pour le moins profondément affaibli, s’il ne signe pas tout bonnement l’acte de décès de RM.


Premiers signataires : Mickaël Vaillant (CA de RM 75), Ralph Zurmély (CA de RM 75), Edmond Aparicio (CA de RM 75),…

Patrouilleau Michel

Il y a le problème que Ségolène n'a pas exprimer ses idées au Mans et qu'il n'en n'a pas été débattu, alors à quoi sert un congrès ? François l'en a-t-il empéchée ?
Qu'approuve-t-elle ou non deu projet ?
Constitution
Présidentialisme ou parlementarisme
réforme réelle du Sénat archaique et pour l'éternité à droite
Europe et laquelle puisqu'elle recommandait le oui
Turquie (elle a dit qu'elle voulait son entréedans la C E )
Position sur l'islam
et sur l'immigration?
Laîcisme et lequel ?
Fiscalité? T V A sociale ou autre chose ?
Etc.....

Patrouilleau Michel

Il y a le problème que Ségolène n'a pas exprimer ses idées au Mans et qu'il n'en n'a pas été débattu, alors à quoi sert un congrès ? François l'en a-t-il empéchée ?
Qu'approuve-t-elle ou non deu projet ?
Constitution
Présidentialisme ou parlementarisme
réforme réelle du Sénat archaique et pour l'éternité à droite
Europe et laquelle puisqu'elle recommandait le oui
Turquie (elle a dit qu'elle voulait son entréedans la C E )
Position sur l'islam
et sur l'immigration?
Laîcisme et lequel ?
Fiscalité? T V A sociale ou autre chose ?
Etc.....

alexis bachelay

Rendez-vous à l'université d'été de Rénover maintenant à Fouras les 23,24 et 25 août pour celles et ceux que ce débat intéresse.

Bientôt la dernière ligne droite avant l'affrontement avec Sarkozy !

Le PS devra choisir son candidat(e) en novembre. Puis se rassembler derrière lui (elle)pour préparer l'alternance.

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Les VALLEES:une gare inacessible


  • La gare des Vallées n'est pas accessible. Que vous habitiez du côté Colombes où Bois-Colombes-La Garenne il est bien difficile d'accéder aux quais. Dans cet album photo je vous propose de suivre l'impossible parcours que doivent emprunter les personnes agées, les handicapés en fauteuil, les mères avec des poussettes . J'oubliais quand on habite du côté Bois-Colombes et que l'on veut aller sur Paris on peut éviter les marches en passant par le pont de la Puce situé à 500m de la gare et revenir par la rue Felix Faure jusqu'au parking des Vallées, emprunter la rampe à forte pente des voitures, traverser le parking et enfin on arrive sur le quai pour voir le train s'en aller. Conseiller Régional d'Ile de France, membre de la Commission Transport, j'entends bien avec cet album sensibiliser la SNCF, le STIF, le Président de la Région et son vice-président pour qu'ils inscrivent comme une priorité la mise en accessibilité pour tous de la Gare des Vallées. Cette action est d'autant plus réaliste aujourd'hui que la question de l'accessibilité est une priorité affirmée du Conseil Régional et du Président de la République. N'hésitez pas à réagir...