Arnaud Montebourg a fait savoir qu'il ne serait pas candidat à la candidature pour les élections présidentielles. Il s'explique de cette décision dans une longue lettre que vous pourrez lire dans la seconde partie de cet article.
Dans cette lettre il revient sur un choix personnel qu'il met en débat au sein de ses amis, débat qui sera repris lors de l'université d'été à Fourras et tranché ensuite.
Si cette prise de position à surpris, elle nécessite un examen sérieux.
Quel choix aurons nous à faire à la fin de cette année?
Pour ma part je souhaite attendre avant de m'engager de connaître la liste officielle des candidats qui sera connue dans les premiers jours d'Octobre.
Mais dès maintenant je constate que notre choix ne peut se réduire à la reproduction de la division entre ceux qui votèrent oui et ceux qui ont préféré le non. Notre candidat ne peut être le champion d'un camp sur l'autre, car il ne ferait que prolonger la division. Nous avons le devoir de nous rassembler pour ensuite rassembler la gauche.
Cette simple constatation, écarte pour moi les candidatures qui semblent incapables de fédérer le Parti Socialiste car trop marquées par les combats passés. Le désir de changement est fort dans notre pays, il peut condamner la droite mais aussi le parti socialiste s'il ne répond pas à cette attente, s'il n'entend pas ce que souhaite une large partie de l'opinion publique.
Quel sera le candidat où la candidate qui saura porter cette attente, qui saura aussi répondre aux aspirations sociales, au désir de changement institutionnel, aux inquiétudes nées d'une mondialisation sauvage qui affaiblit toujours plus les plus pauvres?
Vous trouverez donc en poursuivant la lecture de cet article le point de vue détaillé d'Arnaud sur cette question.
Arnaud Montebourg écrit aux miltants socialistes
Chères et chers camarades,
J’ai fait un pas, personnel mais déterminé, sur le terrain difficile du choix. Choisir est l’une des aptitudes requises dans l’engagement militant et politique auquel nous sommes tous confrontés et qu’il n’aurait pas été courageux de chercher à esquiver.
Il nous faut désormais choisir, parce que nous n’avons plus le choix. Ma candidature, espérée et ressentie par nombre d’entre nous comme meilleure solution pour défendre nos idées, est devenue impossible parce qu’elle souffrait d’un inconvénient de taille : la probabilité d’une victoire était faible et nombre de camarades auraient préféré défendre, contre leurs convictions, un autre candidat en mesure de gagner, selon la mécanique du vote utile. J’ai entendu de si nombreuses fois ce message derrière les estrades et loin des blogs, dans la bouche de camarades présents dans nos combats depuis les origines et aux convictions incontestables.
Ma candidature aurait ajouté une division supplémentaire dans la fracturation déjà multiple du parti, alors que l’esprit de préparation de l’élection présidentielle doit s’inspirer de la nécessité du rassemblement entre les socialistes et doit s’appuyer sur des actes constructifs de mise en commun des idées et des actions.
Enfin, elle se serait affrontée à la totalité du reste du parti, ce que traduit la vérification que nous avons faite de l’impossibilité bureaucratique d’obtenir les parrainages, et aurait conduit nos idées à réduire de leur influence, leur faisant perdre une part de leur capacité à pénétrer les esprits.
Le bilan de nos années de combat, de Dijon jusqu’au Mans, est intéressant, et mérite de poursuivre sa course, car nous avons réussi à mettre sur la table de la discussion politique nombre de nos propositions. Elles se sont répandues dans l’opinion. Elles sont apparues dans les programmes et devront être inscrites sur l’agenda politique de l’après victoire.
Pour répondre à la difficile question du choix, il faut se préoccuper de savoir ce que nous voulons faire de tout ce que nous avons fait ensemble jusqu’ici : La construction de la 6ème République comme solution à la crise politique et populiste du pays ; la domestication progressive du capitalisme financier comme perspective du socialisme européen ; la maîtrise sociale, environnementale et politique de la mondialisation comme héritage moderne du mouvement ouvrier ; la république européenne comme réponse à la victoire du non, sont des propositions qui ont un avenir considérable. Elles se situent au centre de gravité des besoins du pays, mais il reste à les concrétiser en faisant la démonstration de leur possible.
Nous pouvons faire le choix de nous installer avec ces magnifiques projets dans l’idéalisme de solitaire ayant raison contre tous. Nous serions en harmonie totale avec nous-même tout en faisant magistralement reculer nos idées !
Nous pouvons faire le choix plus difficile de nous allier avec qui ne partage toutes nos idées, pour convaincre au moins d’en mettre une partie en application.
Ce choix a ma préférence car il reflète l’exigence dans laquelle nous sommes, comme militants du socialisme, de faire gagner la gauche. Et je voudrais vous convaincre d’en faire le vôtre.
Un tel choix d’alliance ne peut pas être pour nous ou moi-même un renoncement ou je ne sais quelle abjuration. Car je n’ai nullement l’intention d’être un autre que celui que j’ai toujours été et toujours voulu être. Il est un acte de vitalité, parce qu’il organise l’inscription, dans le champ cultivable de l’avenir, de nos idées qui poursuivront ainsi leur chemin ascensionnel. Pour nous tous et pour tout ce que nous portons depuis des années avec tant d’espérance, je préfère l’avenir à l’enfermement des catacombes. Et il ne nous est pas interdit de préférer l’alliance, souvent productive, à la solitude, parfois inutile.
Car la question la plus importante pour nous est bien celle de construire un rassemblement large de toutes les forces de gauche pour les faire gagner et gouverner durablement ensemble : celles du oui et celles du non, celles alter mondialistes et celles social-libérales, celles de la synthèse et celles hors synthèse. Cela implique notre capacité à nous articuler les uns avec les autres, construire des compromis politiques entre socialistes en rapport avec les besoins de la population pour asseoir une majorité durable en faveur des idées de gauche dans le pays.
Si nous sommes incapables de ce genre de comportement collectif qu’avait su mettre en œuvre François Mitterrand, nos fractures seront plus ouvertes que nos perspectives de victoire. Mais une telle espérance ne pourra être envisagée que si deux profonds désirs, exprimés dans le même mouvement par la population, rencontrent les propositions politiques de la gauche dont nous avons à nous préoccuper nous aussi.
Mesurons d’abord l’énorme désir de renouvellement du personnel politique et de changement de génération, dans lequel il faut situer nos choix. Quatre ans et demi après le 21 avril 2002, l’appareil a maintenu le gouvernement Jospin à la Direction, refusé l’inventaire de nos erreurs, diabolisé les nouvelles idées que vous avons avancées avec toute la génération de jeunes élus que nous sommes et empêché la rénovation du projet et des pratiques.
Comme pétrifié dans un bocal de formol, le Parti joue désormais sa survie devant ses électeurs, qui s’apprêtent à sanctionner l’immobilisme, et le refus de construire une nouvelle donne. Ceux qu’on appelle les éléphants seront sévèrement sanctionnés pour avoir abusivement occupé l’espace politique du parti en empêchant l’avènement, par la transmission des compétences, d’équipes et d’idées nouvelles.
Je crois que nous ne pouvons nous tenir à l’écart de cette aspiration au renouvellement, ni prêter main forte à quiconque voudrait empêcher sa réalisation.
Mais nous savons surtout qu’elle ne suffit pas. Car nous mesurons à quel point les déceptions provoquées par la gauche au pouvoir devront nous amener à proposer dans la campagne, puis dans la victoire comme dans la future majorité, des choix politiques ancrés à gauche.
Notre candidat ne pourra pas échapper à la nécessité politique de proposer d’équilibrer ce capitalisme débridé et financier en assumant une part de confrontation, administrée même à doses progressives, avec l’organisation actuelle du système économique en s’appuyant sur les mouvements sociaux qui travaillent la société. Il pourra utilement s’appuyer sur le reflux des idées libérales qui a commencé avec les victoires du non en Europe, et ainsi chercher à organiser la maîtrise de cette mondialisation sans règle, si destructrice sur le plan économique, social et environnemental.
Face aux projets dérégulateurs et ultralibéraux des droites européennes, il serait enthousiasmant que nous portions un programme de reconstruction de la République : réhabiliter le politique, restaurer sa crédibilité et ses marges de manœuvre, c’est le sens profond de ce beau projet de 6ème République qui, s’il n’est pas intégré dans le projet socialiste doit encore faire son chemin, même en pièces détachées.
Voilà comment je crois que nous pouvons entraîner nos électeurs dans un mouvement de victoire, ainsi que tous les autres en perdition, qui ont perdu confiance en toute action politique.
Pour conjurer le danger lepéniste et infliger une cruelle défaite à la candidature Sarkozy, il est impérieux de réussir à se rassembler, réussir à nous renouveler, et réussir à tenir les promesses de la gauche. Je crois que Ségolène Royal a les atouts pour conjuguer ces trois exigences. C’est bien sûr à elle de nous en convaincre.
J’ai fait un pas dans sa direction, en l’invitant à Frangy-en-Bresse et en imaginant de nous préparer à travailler ensemble. Il lui revient de parler à ce peuple de gauche dont nous faisons partie. Chacun d’entre vous jugera et décidera de ce que nous voulons ensemble faire de nos idées. Nous engagerons le débat à Fouras et nous le clôturerons le moment venu. Nous préserverons ensemble notre capacité d’action commune et déciderons ensemble de choisir. Mais je crois qu’il est avant tout nécessaire de donner la chance de la victoire à la gauche. A nous de faire en sorte qu’elle soit aussi celle de nos idées.
Je te prie de croire, Chère ou Cher camarade, en l’assurance de ma fidélité à notre cause commune.
Arnaud MONTEBOURG
Je pense qu'il y a des Camarades de RM qui raisonnent comme si le futur débat interne sur la désignation des candidats était un débat de congrès, or ce n'est pas le cas et comme dirait l'autre "se tromper d'échéance c'est aussi se tromper de débat...". L'échéance de 2007 consiste à battre la droite et non à refaire le congrès du Mans ou de Tours... Comme tous les candidats se réclament aujour'hui de la synthèse du Mans, ils sont donc tous sur la même ligne politique. Et le devoir politique de RM est de peser de toutes ses forces dans la bataille qui s'annonce en soutenant le candidat, susceptible de porter au mieux les axes programmatiques d'une rénovation, qui ne sera certes pas complète, mais qui sera un premier pas... Et pour ce qui me concerne, ce candidat est une candidate !
Rédigé par : JMG | vendredi 01 sep 2006 à 17H31
LETTRE A ARNAUD MONTEBOURG ET A LA DIRECTION DE
RÉNOVER MAINTENANT.
L’hypothèse d’une candidature d’Arnaud Montebourg à la désignation du candidat socialiste à la présidentielle de 2007 est aujourd’hui enterrée. C’est le choix personnel d’un homme politique libre de se jeter ou non dans une épreuve où, dit-on, s’accomplit la rencontre providentielle d’un homme ou d’une femme avec la France. Arnaud Montebourg a estimé en son âme et conscience que les conditions n’étaient pas réunies pour aller au bout d’une démarche soutenue par l’immense majorité des militants de Rénover maintenant. Nous regrettons cette décision, mais nous la respectons.
En son âme et conscience, il a dans un même élan « fait un pas, personnel mais déterminé », dans le sens d’un ralliement à la candidature de Ségolène Royal.
Alors, cher camarade Arnaud, permets-nous de rappeler ici quelques évidences qui nous ont paru former, dans le refus avec toi de la synthèse imposée par la direction du parti socialiste au Mans, le ciment de notre engagement commun à Rénover maintenant.
*
À l’inverse des pratiques anti-démocratiques qui minent depuis tant d’années le Parti socialiste, nous pensons encore que « la difficile question du choix » d’un éventuel ralliement de notre mouvement à un candidat devrait être collectivement tranchée et non être du ressort de la seule direction de RM, aussi « éclairée » soit-elle. Certes, RM s’est doté de représentants ayant pour charge de décider des orientations du mouvement. Partisans de la 6ème République, nous sommes bien sûr de fervents défenseurs de la démocratie représentative. Mais à engagement exceptionnel – le choix d’un candidat ou d’un projet – nous demandons une procédure exceptionnelle, à l'instar de ce qui existe en matière constitutionnelle avec le recours au « référendum ». Une procédure visant à consulter l’ensemble des militants pour décider de l’opportunité d’un ralliement immédiat ou prendre le parti d’une neutralité active de RM jusqu’à la désignation officielle du candidat des socialistes.
Il n’y a pas, lorsque l’on est chef d’un parti ou d’un courant, de choix personnel qui n’engage les militants qui ont fait le choix de se placer derrière un homme et les idées qu’il incarne.
D’autre part, l’argument même selon lequel « il nous faut désormais choisir, parce que nous n’avons plus le choix » n’est pas admissible, sauf à accepter aujourd’hui ce que nous critiquions hier : la tyrannie d’une logique présidentialiste, cette logique folle qui ordonne toute la vie du parti et qui devrait commander aujourd’hui les choix des rénovateurs. Il n’y a pas plus d’obligation maintenant à prendre position dans cette bataille présidentielle interne au PS qu’il n’y avait hier d’obligation à rallier la synthèse. Cohérents avec nous-mêmes nous pensons au contraire que refuser la fatalité de l’alignement pavlovien sur une écurie présidentielle c’est faire là un acte politique fondateur ; celui de la continuité dans l’action qui nous permettra peut-être un jour d’apparaître aux yeux des socialistes d’abord et des français ensuite comme l’ultime recours aux alliances de circonstance et aux errements stériles d’une 5ème République déclinante.
Enfin, l’important crédit politique et moral que tu as acquis, Arnaud, en refusant la synthèse au Mans, bien au-delà des rangs des militants encartés du parti socialiste, est en passe d’être dilapidé au vu des réactions dépitées et du malaise général que tes déclarations en faveur de Ségolène Royal ont suscité dernièrement. Car comme beaucoup de militants et de sympathisants de RM nous pensons qu’un tel ralliement à cette candidature s’avère tout simplement contre-nature. Outre ses déclarations tonitruantes peu conformes aux valeurs traditionnelles de la gauche, Ségolène Royal est loin d’avoir fait la preuve que sa candidature présente les atouts du renouvellement : non seulement elle est la candidate de la synthèse mais elle apparaît également pour l’heure comme la fidèle représentante d’un appareil que nous n’avons cessé de dénoncer.
*
Mais comme toi, Arnaud, nous voulons faire gagner la gauche en 2007. Face au carnage des politiques ultra-libérales de la droite, il est temps d’opposer une union des forces progressistes rassemblée autour d’un candidat unique prônant des valeurs communes de justice sociale et de solidarité. Seule cette union de toutes les forces de gauche pourra, nous en sommes convaincus, nous assurer la victoire.
Toutefois, si nous voulons que ce candidat de la gauche soit le candidat des socialistes et si nous souhaitons effectivement en tant que rénovateurs pouvoir influer par nos idées sur ce candidat afin de « gouverner durablement ensemble », gardons-nous d’un ralliement effectué dans la précipitation avant investiture officielle du candidat du PS. Car outre le fait qu’un tel ralliement ne ferait qu’accentuer les dissensions déjà nombreuses au sein du parti, celui-ci nous paraît surtout aussi inacceptable moralement que politiquement inutile.
Inacceptable moralement vis-à-vis des camarades, frappés d’ostracisme ou tenus pour quantité négligeable dans leurs sections en raison de leur choix courageux de rejoindre RM, et qui auront finalement l’impression d’avoir été trahis.
Politiquement inutile parce que le candidat investi par le PS aura crucialement besoin du soutien de toutes les composantes de la gauche, à l’extérieur comme à l’intérieur même du parti, et que les pactes scellés ou promesses faites par certains candidats déchus n’auront pas plus de valeur qu’un chèque en blanc. D’ailleurs, quelle crédibilité accorder à un prétendant non investi par son parti et, plus largement, à un responsable politique dépourvu du soutien de tous les militants de son mouvement…
Et nous sommes très nombreux à penser que nous pèserons davantage le moment venu pour faire partager nos convictions et négocier notre soutien au candidat de la gauche en restant pour l’instant les spectateurs impassibles du combat des éléphants qui va bientôt s’engager, loin au-dessus des barrissements de la mêlée. C’est aussi l’assurance pour nos représentants, qui seront amenés à traiter avec le vainqueur, de pouvoir discuter d’égal à égal, soutenus par un collectif de militants unis et mobilisés dans le même sens, ouverts à toute discussion mais sans humiliation ni renoncement préalable à nos idées. D’autant que nous avons de bonnes raisons de croire que celles-ci ont déjà réussi à pénétrer les esprits d’une partie importante de la gauche. Alors de grâce, Arnaud, ne sacrifions pas notre intégrité politique durement réprimée mais justement acquise sur un simple coup de dés en fonction de calculs purement électoralistes à court terme.
Sans aucun doute la question d’un ralliement sera débattue par notre mouvement à Fouras. Mais cela dans un contexte biaisé par le choix déjà acté, précipité et solitaire de l’un de nos principaux responsables, alors même que tous les militants ne seront pas présents. Un débat dont notre mouvement risque fort, si nous n’y prenons garde, de sortir pour le moins profondément affaibli, s’il ne signe pas tout bonnement l’acte de décès de RM.
Premiers signataires : Mickaël Vaillant (CA de RM 75), Ralph Zurmély (CA de RM 75), Edmond Aparicio (CA de RM 75),…
Rédigé par : Ralph Zurmély | mercredi 16 août 2006 à 13H56
Il y a le problème que Ségolène n'a pas exprimer ses idées au Mans et qu'il n'en n'a pas été débattu, alors à quoi sert un congrès ? François l'en a-t-il empéchée ?
Qu'approuve-t-elle ou non deu projet ?
Constitution
Présidentialisme ou parlementarisme
réforme réelle du Sénat archaique et pour l'éternité à droite
Europe et laquelle puisqu'elle recommandait le oui
Turquie (elle a dit qu'elle voulait son entréedans la C E )
Position sur l'islam
et sur l'immigration?
Laîcisme et lequel ?
Fiscalité? T V A sociale ou autre chose ?
Etc.....
Rédigé par : Patrouilleau Michel | dimanche 13 août 2006 à 15H55
Il y a le problème que Ségolène n'a pas exprimer ses idées au Mans et qu'il n'en n'a pas été débattu, alors à quoi sert un congrès ? François l'en a-t-il empéchée ?
Qu'approuve-t-elle ou non deu projet ?
Constitution
Présidentialisme ou parlementarisme
réforme réelle du Sénat archaique et pour l'éternité à droite
Europe et laquelle puisqu'elle recommandait le oui
Turquie (elle a dit qu'elle voulait son entréedans la C E )
Position sur l'islam
et sur l'immigration?
Laîcisme et lequel ?
Fiscalité? T V A sociale ou autre chose ?
Etc.....
Rédigé par : Patrouilleau Michel | dimanche 13 août 2006 à 15H54
Rendez-vous à l'université d'été de Rénover maintenant à Fouras les 23,24 et 25 août pour celles et ceux que ce débat intéresse.
Bientôt la dernière ligne droite avant l'affrontement avec Sarkozy !
Le PS devra choisir son candidat(e) en novembre. Puis se rassembler derrière lui (elle)pour préparer l'alternance.
Rédigé par : alexis bachelay | lundi 31 juil 2006 à 09H15